En hiver, notre organisme est soumis à un manque de lumière : on part travailler le matin quand il fait encore nuit et on rentre à la nuit tombée.
Ce manque agit sur notre humeur : notre énergie est diminuée, on peut ressentir des troubles du sommeil ou de l’appétit : on parle alors de dépression saisonnière.
Depuis quelques années, on entend parler de la
luminothérapie. Appelée également photothérapie ou luxthérapie, elle agit comme un substitut de la lumière naturelle. Elle est indiquée en cas de stress, fatigue, ou pour soulager les personnes tout simplement fatiguées.
Il faut toutefois rester prudent concernant leurs utilisations : les personnes souffrant de maladies des yeux (glaucome, cataracte) devront s’abstenir.
Il existe plusieurs lampes :
La luminosité devra être comprise entre 2500 et 10 000 lux. Vous pouvez choisir le simulateur d'aube. C’est une lampe programmable qui vous réveille le matin en augmentant progressivement la lumière. A l'heure du réveil, le simulateur d'aube augmente progressivement la luminosité et vous assure un réveil agréable.
Vous pouvez aussi vous asseoir devant une lampe de luminothérapie de 20 à 90 minutes par jour.
Autre option : des lunettes appelées «
luminette » qui envoient la lumière dans l’œil de manière naturelle.
Le prix de cette technologie reste élevé : comptez entre 200 et 400 € pour une lampe de luminothérapie, 160 € pour un simulateur d’aube.
Vous pouvez à moindre coût opter pour les ampoules ou néons «
lumière du jour », idéales pour le travail ou à la maison : elles restituent l’équivalent de la lumière du soleil de midi.
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Passeport santé.netBien choisir votre lampe de luminothérapie :
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