Mutuelle les Ménages Prévoyants

Dès aujourd'hui, le vaccin anti grippe est disponible chez votre pharmacien.

A cette occasion, la Caisse d'Assurance Maladie lance une campagne d'information ciblée sur les 65 - 69 ans pour sensibiliser la majorité et les convaincre de la nécessité de se faire vacciner sous le slogan : La grippe, c'est mieux quand on l'évite.

Rappelons que la grippe touche chaque année entre 2 et 7 millions de Français. Le vaccin est efficace environ 15 jours après son injection, période pendant laquelle l'organisme fabrique des anticorps.

La rédaction.
Sources :
ameli.fr
Wikipedia
Crédit image : FNMF/N.MERGUI

A l'occasion de la 3ème Journée Nationale de la Prostate, l'Association Française d'Urologie met à votre disposition un numéro de téléphone :

Une équipe d'urologue répondra à vos questions sur la prostate et ses pathologies.

Qu’est-ce que la prostate ? A quoi sert-elle ? Quel rôle joue-t-elle dans la fertilité et la sexualité masculine ?

Mais aussi comment reconnaître ses pathologies, comment les prévenir ou les dépister avant l’apparition des premiers symptômes ? .../ ...

Une équipe de neurologues internationaux menée par le Pr Bruno Dubois, a publié des travaux dans la revue scientifique The Lancet Neurology. Leurs recherches permettraient, grâce à des tests, de diagnostiquer plus précocement la maladie d'Alzheimer.

Aujourd’hui 800 000 personnes sont touchées en France, et 165 000 nouveaux cas sont décelés chaque année.

L’étude de ces spécialistes démontre que les malades pourraient être diagnostiqués 3 à 4 ans plus tôt avec une série d’examens :

- un test spécifique destiné à déceler les troubles particuliers de la mémoire
- une IRM pour visualiser et mesurer une éventuelle atrophie de l’hippocampe, région du cerveau atteinte par la maladie
- une vérification des taux de certains biomarqueurs dans le liquide cérébrorachidien.

Le Pr Dubois rappelle que les médicaments actuels ne ralentissent pas la maladie mais en améliorent les symptômes. Les recherches en cours s’orientent vers des médicaments capables de bloquer la maladie et retarder les symptômes.

Il déclare qu’oublier certains évènements de la vie quotidienne n’est pas inquiétant en soi car il s’agit d’un manque d’attention, comme par exemple lorsqu’on ne retrouve plus ses clefs, à contrario, l’oubli d’un évènement important, comme un deuil peut être un signe d’alerte.

Espérons que la recherche avance vite pour enrayer cette maladie.

Mais on peut aussi s’interroger sur la mise en place d’un cadre de soins pour bénéficier de ces examens de dépistage. La Sécurité Sociale prendra-t-elle en charge ces soins ? Quels critères seront déterminants dans le choix de la population à risque ? Quels moyens se donnera-t-on pour une telle prévention ?

La rédaction.
Source : INSERM

Crédit Image : copyright Ménages Prévoyants

Le déremboursement, en Mars 2006, (principalement des sirops expectorants), a provoqué la chute des ventes de 50% entre 2005 et 2006.

Même si les patients ont compensé par le recours à l’automédication (+33% sur la même période) cela n’a pas compensé les ventes.

Par exemple, un sirop pour la toux a vu ses ventes diminuer de 43% suite à son déremboursement. Mais il est à noter que le prix de ces médicaments ont rapidement augmenté entre Mars et Août 2006, n’étant plus soumis au système de prix administrés. La hausse moyenne est évaluée à 36% entre Février et Décembre 2006. Ainsi la marge des grossistes et pharmaciens a progressé de 55% dans le même temps.

En ce qui concerne les veinotoniques, leur déremboursement de 65% à 15% a également provoqué une chute des ventes de près de 24% entre juillet 2005 et 2006.
Les médecins ont prescrit moins de veinotoniques et l’automédication ne représente que 5% des boites délivrées en 2006.

Au 1er janvier 2008, ils seront totalement déremboursés, l’automédication pourrait progresser car la promotion de ces produits auprès du public sera autorisée.

Source
FNMF - Etude d’impact économique de la modification des conditions de remboursement des SMRI en 2006

Donc, oubliez les compléments alimentaires, voici quelques conseils pour vous aider à être au top : Avant l’effort : il est inutile de consommer de manière excessive des protéines, nutriments essentiels à la fabrication des tissus musculaires : celles se trouvant dans une alimentation normalement équilibrée suffisent (poissons, viande, œufs, produits laitiers)

Il faut surtout donner à votre organisme le principal carburant qu’il va consommer en grande quantité : les glucides. Il est donc important, la veille, de manger des sucres lents présents dans les féculents (pâtes, riz, pommes de terre, pain).

Juste avant l’effort, n’hésitez pas à manger un fruit dont le sucre va s’assimiler assez lentement et qui se rendra donc facilement disponible tout au long de l’exercice.

Ces conseils sont issus d'un site du ministère de la jeunesse et des sports. Ce site propose des solutions et des conseils pour tous les âges et permet en quelques clics de définir votre profil et les sports les mieux adaptés à votre âge et votre disponibilité.

A vous de jouer !!!

Visiter le site : Faire du sport

Crédit image
Ministère de la jeunesse et des sports

En effet, cela est possible depuis le 15 avril 2007 et ce principalement pour faire face à la pénurie des spécialistes dans certaines régions françaises.

Mais pour garantir la qualité des soins, des conditions sont à respecter :

- l'opticien doit recevoir le patient de plus de 16 ans dans de "bonnes conditions d'isolement phonique et visuel" selon le decret paru au journal officiel.

- si l'opticien met en évidence une presbytie, la délivrance des verres est impossible et une prescription de l'ophtalmologue devient nécessaire.

- si l'examen pratiqué par l'opticien révèle une correction différente de celle de la prescription, le spécialiste devra en être informé mais les verres pourront être changés. Mais attention, la prescription doit être postérieure à la date du 15 avril 2007.

- losrque l'ophtalmologue estime qu'un suivi régulier est nécesaire, il le mentionne sur l'ordonnance et dans ce cas le renouvellement par l'opticien est exclu.

- le taux de prise en charge par l'assurance maladie reste identique qu'il s'agisse d'une correction apportée par le spécialiste ou l'opticien, soit 65% du tarif de responsabilité.

L'examen n'étant pas pas un acte médical, il devrait être gratuit et sans obligation d'achat. Toutefois, soyez prudents et renseignez-vous car le gérant d'une enseigne franchisée nous a indiqué que cet examen pourrait être facturé jusqu'à 15 euros.

La Rédaction.

Source : Legifrance

Image : FNMF / N.MERGUI